Ce site est destiné à vous présenter des lieux que j'ai découvert au cours de mes recherches sur la Grande Guerre en Champagne et dans les Ardennes.
A l'aide de photos et de cartes, je vous propose une découverte des lieux de mémoire et du patrimoine de ces deux parties du front. De septembre 1914 à septembre 1918, la Champagne fut le théâtre de plusieurs grandes batailles, mais en fait les combats n'y cessèrent jamais. Après avoir connu les défaites de „La Bataille des Frontières“ fin août 1914, les armées françaises ont fait retraite de part et d'autre du massif forestier de l‘Argonne jusqu'au coup d'arrêt définitif porté aux portes de Bar-le-Duc.
Diese Seite dient dazu Ihnen verschiedene Orte näher zu bringen, die ich während meinen Recherchen über den 1. Weltkrieg in der Champagne und den Ardennen entdeckt habe.
An Hand von Fotos und Karten, möchte ich Ihnen die Erinnerungen um unser Erbe dieser zwei Frontabschnitte näherbringen. Vom September 1914 bis September 1918 war die Champagne von mehreren großen Schlachten betroffen, aber in Wirklichkeit endeten die Kämpfe nie. Nach den Niederlagen der Grenzschlachten Ende August 1914, zogen sich die französischen Armeen Richtung Argonnenwald bis zum endgültigen Stillstand vor Bar-le-Duc zurück.
Les premiers jours de la Guerre. L'armée belge ralentit l'attaque allemande.
Le 4 août 1914, vers 8 heures du matin, les troupes allemandes entrent en Belgique par la ligne de front Gemmenich-Malmedy. La tombe le premier belge, le cavalier Antoine Fonck du 2. lancier, premier soldat tué de la guerre sur le front ouest.
La Belgique entend se défendre. Si néanmoins la frontière était violée et le territoire envahi, l'étranger trouvera tous les Belges groupés autour du souverain le roi Albert 1. Au moment de la déclaration de la guerre, la Belgique n’a pas officiellement d’ennemi ce qui veut dire que le premier pays mettant son pied sur le territoire belge sera son ennemi.
La 2. armée allemande, sous le commandement de von Bülow, avec 40 000 hommes seulement, se dirige le plus rapidement possible vers le nœud stratégique que constitue Liège.
La ceinture fortifiée de Liège composée de 12 forts tiendra et ralentira les Allemands. Pour faire tomber celle-ci les Allemands ont dû faire venir 60 0000 hommes et une nombreuse artillerie, à ce moment-là, plus de 10 % de l'armée d'invasion opèrent alors contre l'armée Belge.
La défense de Liège, par la 3e D.A. (Division d’Armée) et les garnisons des forts, sera longtemps considérée comme une page glorieuse de l’histoire belge. En effet, les Belges, sous les ordres du général Leman, y prouvent leur volonté de résister de toutes leurs forces.
Le 15 août, les Allemands doivent utiliser des “Dicke Bertha”, des canons de très gros calibre ( 42cm ) , pour venir à bout du fort de Loncin.
Les forts ne seront réduits complètement que le 18 août 1914, tandis que l'armée belge fait retraite vers l'ouest, échappant ainsi à l'encerclement. Les Allemands ont perdu presque 15 jours de temps et 5 000 morts, soit des pertes que l'état-major allemand juge considérables en ce premier mois de guerre. Cette résistance inespérée de la Belgique vaudra à Liège d'être la seule ville étrangère à recevoir la Légion d'honneur.
Pendant ce temps l’armée française a pu s’organiser pour venir à la rescousse de la Belgique, celle-ci fut attendue à Liège, elle n’a jamais vu la place fortifiée de Namur sauf la cavalerie du Général Sordet qui avec l’aide de sa cavalerie a atteint la ville de Huy située sur la Meuse à une trentaine de kilomètre de Liège