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Fontaine en Dormois 14-18 / présent Monuments Combattants

Monuments

La Première Guerre mondiale ayant été sans précédent pour l'ampleur des destructions, les lieux de mémoire ont fleuri pour rendre un dernier hommage aux combattants.

Der 1. Weltkrieg war verantwortlich für das Ausmaß der Zerstörungen, deswegen wurden Orte der Erinnerung errichtet um den Kämpfern die letzte Ehre zu erweisen.

Monument-Ossuaire de Navarin - à droite en 1938

Monument de la Victoire de la Marne à Mondement

Nécropole Nationale de la 28e Brigade à Souain Perthes-les-Hurlus

Monument aux Morts à Servon-Melzicourt

Monument aux Morts à Virginy

Monument aux Morts à Sommepy Tahure

Monument aux Morts à Rouvroy-Ripont

Monument aux Morts de Binarville

Monument aux Morts à Gratreuil

Monument aux Morts à Vienne-le-Château

Monument du 9e Cuirassier à Binarville

Monument aux Morts à Cernay-en-Dormois

Nécropole Nationale de la Harazée

Monument des 170 et 174ème R.I. à Sommepy-Tahure


" La Vierge aux Abeilles " de Massiges

Prise dans la tourmente des combats dès septembre 1914, elle resta toujours debout parmi les combattants. D'abord, malgré la destruction de son socle, près de son emplacement, au milieu des abris sommaires des combattants du Corps d'Armée colonialde la 4e armée française, jusqu'en septembre 1915. Après la grande offensive de Champagneengagée du 25 septembreau 6 octobre1915, elle fut placée, appuyée contre un support de fortune, au milieu du cimetière militaire provisoire situé au bas de la Main de Massiges, à quelque 100 mètres plus au nord, sur le terrain conquis de haute lutte. Au cours du séjour dans ce cimetière, elle reçut une balle en plein cœur, comme pour offrir protection à un essaim d'abeilles qui prit place à l'intérieur de ce refuge ; seule blessure qu'elle ait reçu au cours de la guerre, malgré la violence des combats qui durèrent quatre ans tout autour d'elle.

Après la guerre, malgré différentes péripéties, les abeilles restèrent. Le 31mai1931, la vierge retrouva sa place sur le socle refait en partie avec les anciennes pierres, sur l'emplacement d'origine. Les abeilles suivirent. Le 12 avril 1970, cette statue fut officialisée « Monuments aux Morts » de la commune de Massiges. C'est à cette époque que les abeilles quittèrent ce havre de paix, sans doute mission accomplie pour la statue. Combien de combattants sont passés devant la Vierge, en montant en ligne, l'implorant en silence et lui demandant protection. Et combien de ces héros sont tombés sur les flancs de la Main de Massiges, certains y reposant pour toujours

La Main de Massiges

L'emplacement pendant la guerre


Trotz der Kämpfe seit 1914, blieb das Monument der Jungfrau unbeschädigt. Sie verweilte am selben Ort, trotz einer Beschädigung ihres Sockels inmitten der Unterstände des Kolonialkorps der 4. französischen Armee bis September 1915. Nach der zweiten Champagne Schlacht vom 25 September bis 6 Oktober 1915 wurde sie dann zum provisorischen Soldaten Friedhof unterhalb der Main de Massiges gebracht. Während ihres Aufenthaltes am neuen Standort, bekam die Jungfrau eine Kugel mitten ins Herz, und ein Schwarm Bienen nistete sich ein. Dies war die einzige Beschädigung, die die Jungfrau während den schweren Kämpfen der vier Jahre erleiden musste.

Nach dem Krieg, trotz verschiedener Zwischenfälle, blieben die Bienen. Am 31 Mai 1931 bekam die Jungfrau ihren Platz auf einem neuen Sockel zurück, gebaut mit Steinen aus dem Ort. Die Bienen folgten. Am 12 April 1970 wurde die Statue offiziel zum Monument aux Morts von Massiges ernannt. Genau zu diesem Zeitpunkt verliessen die Bienen ihren Zufluchtsort, als wenn sie ihren Dienst geleistet hätten. Wieviele Soldaten sind an ihr während des Krieges vorbei gezogen und hatten um Schutz gebeten, und wieviele Helden sind an der Main de Massiges gefallen und ruhen heute noch hier.

Le retour dans les années 1930

Monument aux Morts à Minaucourt-le-Mesnil-lès-Hurlus


La stèle du 169. Régiment d'Infanterie „ DES LOUPS „

La nécropole nationale de Saint-Thomas-en-Argonneest un cimetière militaire français de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Saint-Thomas-en-Argonneà la sortie du village de Vienne-le-Châteauen Marne.

Le cimetière militaire, créé en 1924, regroupe les corps des soldats tués au cours des Batailles d'Argonne de 1914 à 1918. L'aménagement du site s'est déroulé en 1924-1925 par le regroupement des dépouilles des soldats exhumés des cimetières militaires de La Biesme et de La Gruerie.

Le 169. Régiment d'Infanterie " Des Loups " colorisation fait par: Histoire de Couleurs - prop. Richard Deziel